Un article de Pauline Petit
paru sur ConsoGlobe.
Une étude montre que la pratique régulière du yoga et de la méditation augmente le développement des neurones. Un des nombreux bienfaits de cette pratique.
Le yoga est L’activité du moment chez les urbains en mal de sérénité. Le Monde Magazine écrivait d’ailleurs hier non sans ironie : “si tu ne t’es pas inscrit au yoga fin août, t’as raté ta vie”. Au-delà des effets de mode, les effets positifs de la pratique du yoga et de la méditation sur le corps et le cerveau sont connus : plus grande souplesse, postures améliorées, stress diminué, meilleure respiration… Une nouvelle étude montre qu’elle aurait des effets sur le développement du cerveau.
Yoga et méditation excellents pour le cerveau.
L’étude, publiée dans Frontiers in Human Neuroscience(1), a voulu voir si la pratique intensive du yoga et de la méditation augmentait le “BDNF” (ou facteur neurotrophique issu du cerveau). Il est en effet “connu pour promouvoir l’aptitude du cerveau (mémoire, apprentissage), la plasticité neuronale et le développement de nouvelles synapses”, explique Baruch Rael Cahn, l’un des chercheurs en charge de l’étude.
Résultat : le niveau de BDNF des participants à l’étude a été multiplié par trois à la fin de l’étude. Le BDNF étant inversement proportionnel au niveau d’anxiété, il s’agirait aussi d’une source de bien-être.
Baisse de l’anxiété, des risques inflammatoires et développement du cerveau.
Pour ce faire, les chercheurs ont placé 38 participants dans une retraite de trois mois pour unepratique intensive du yoga et de la méditation. Ceux-ci ont subi une batterie de tests physiques et psychologiques avant et après la retraite. Ainsi, ils ont mesuré non seulement une explosion du taux de BDNF, mais aussi une diminution des marqueurs inflammatoires, ainsi qu’une baisse de l’anxiété et de la dépression.
Le cortisol, l’hormone qui régule le stress, est produite en quantité plus élevée chez les participants à la fois pendant la retraite mais également longtemps après. Les effets positifs sont à la fois dus à la pratique du yoga mais aussi “aux autres aspects de la retraite, soit la pratique physique intensive et l’alimentation”.
Quoi qu’il en soit, une pratique intensive comme plus ponctuelle du yoga et de la méditation sont bonnes pour le corps et l’esprit.
Le yoga et la méditation triplent les capacités de développement du cerveau
Un article de Pauline Petit
paru sur Consoblog.
Un article de Pauline Petit
paru sur ConsoGlobe.
Une étude montre que la pratique régulière du yoga et de la méditation augmente le développement des neurones. Un des nombreux bienfaits de cette pratique.
Le yoga est L’activité du moment chez les urbains en mal de sérénité. Le Monde Magazine écrivait d’ailleurs hier non sans ironie : “si tu ne t’es pas inscrit au yoga fin août, t’as raté ta vie”. Au-delà des effets de mode, les effets positifs de la pratique du yoga et de la méditation sur le corps et le cerveau sont connus : plus grande souplesse, postures améliorées, stress diminué, meilleure respiration… Une nouvelle étude montre qu’elle aurait des effets sur le développement du cerveau.
Yoga et méditation excellents pour le cerveau.
L’étude, publiée dans Frontiers in Human Neuroscience(1), a voulu voir si la pratique intensive du yoga et de la méditation augmentait le “BDNF” (ou facteur neurotrophique issu du cerveau). Il est en effet “connu pour promouvoir l’aptitude du cerveau (mémoire, apprentissage), la plasticité neuronale et le développement de nouvelles synapses”, explique Baruch Rael Cahn, l’un des chercheurs en charge de l’étude.
Résultat : le niveau de BDNF des participants à l’étude a été multiplié par trois à la fin de l’étude. Le BDNF étant inversement proportionnel au niveau d’anxiété, il s’agirait aussi d’une source de bien-être.
Baisse de l’anxiété, des risques inflammatoires et développement du cerveau.
Pour ce faire, les chercheurs ont placé 38 participants dans une retraite de trois mois pour unepratique intensive du yoga et de la méditation. Ceux-ci ont subi une batterie de tests physiques et psychologiques avant et après la retraite. Ainsi, ils ont mesuré non seulement une explosion du taux de BDNF, mais aussi une diminution des marqueurs inflammatoires, ainsi qu’une baisse de l’anxiété et de la dépression.
Le cortisol, l’hormone qui régule le stress, est produite en quantité plus élevée chez les participants à la fois pendant la retraite mais également longtemps après. Les effets positifs sont à la fois dus à la pratique du yoga mais aussi “aux autres aspects de la retraite, soit la pratique physique intensive et l’alimentation”.
Quoi qu’il en soit, une pratique intensive comme plus ponctuelle du yoga et de la méditation sont bonnes pour le corps et l’esprit.
Une étude montre que la pratique régulière du yoga et de la méditation augmente le développement des neurones. Un des nombreux bienfaits de cette pratique.
Le yoga est L’activité du moment chez les urbains en mal de sérénité. Le Monde Magazine écrivait d’ailleurs hier non sans ironie : “si tu ne t’es pas inscrit au yoga fin août, t’as raté ta vie”. Au-delà des effets de mode, les effets positifs de la pratique du yoga et de la méditation sur le corps et le cerveau sont connus : plus grande souplesse, postures améliorées, stress diminué, meilleure respiration… Une nouvelle étude montre qu’elle aurait des effets sur le développement du cerveau.
Yoga et méditation excellents pour le cerveau.
L’étude, publiée dans Frontiers in Human Neuroscience(1), a voulu voir si la pratique intensive du yoga et de la méditation augmentait le “BDNF” (ou facteur neurotrophique issu du cerveau). Il est en effet “connu pour promouvoir l’aptitude du cerveau (mémoire, apprentissage), la plasticité neuronale et le développement de nouvelles synapses”, explique Baruch Rael Cahn, l’un des chercheurs en charge de l’étude.
Résultat : le niveau de BDNF des participants à l’étude a été multiplié par trois à la fin de l’étude. Le BDNF étant inversement proportionnel au niveau d’anxiété, il s’agirait aussi d’une source de bien-être.
Baisse de l’anxiété, des risques inflammatoires et développement du cerveau.
Pour ce faire, les chercheurs ont placé 38 participants dans une retraite de trois mois pour unepratique intensive du yoga et de la méditation. Ceux-ci ont subi une batterie de tests physiques et psychologiques avant et après la retraite. Ainsi, ils ont mesuré non seulement une explosion du taux de BDNF, mais aussi une diminution des marqueurs inflammatoires, ainsi qu’une baisse de l’anxiété et de la dépression.
Le cortisol, l’hormone qui régule le stress, est produite en quantité plus élevée chez les participants à la fois pendant la retraite mais également longtemps après. Les effets positifs sont à la fois dus à la pratique du yoga mais aussi “aux autres aspects de la retraite, soit la pratique physique intensive et l’alimentation”.
Quoi qu’il en soit, une pratique intensive comme plus ponctuelle du yoga et de la méditation sont bonnes pour le corps et l’esprit.